criTiQue 0004 : Sympa ta déco…

Salutations,

C’est sans doute, paradoxalement, le plus gros reproche que je puisse faire au quatuor de belles plantes ("The Like") : la relative sur-utilisation de leur plastique dans leur ‘com’ de vente (Mon ami N. qualifierait sans doute le procédé de ‘putassier’)

Bien sûr, l’esthétique de nos jeunes filles en fleur colle parfaitement au son (et aux paroles) très 60’s de leurs deuxième effort studio « Release me » et si je suis souvent le dernier à me plaindre d’une sexualisation assumée de son image par une femme (ou dans ce cas ci un groupe de femmes) qui n’a pas honte de son corps (même quand il s’agit de Beth Ditto), j’aurais tout de même préféré que les ficelles (voir ci-contre) soient un peu moins visibles…

Bref…

Revenons à ce qui est réellement digne d’intérêt : Cet album n’est sans doute pas la claque musicale de la décennie ou même de l’année mais c’est justement là qu’il trouve son charme : Dans simplicité et sa fraîcheur. En ces temps où les ‘Bat for lashes’, ‘Florence and the machine’ et autres ‘La Roux’ font référence dans le petit carré de mare musical réservé aux dames par Mr Hollywood, cet album élégant et mélodique m’as fait l’effet d’une bouffée d’air frais

Comme souvent dans ces cas-là, ce n’est que dans leur prochain album que nous trouveront (ou pas) les raisons de nous attacher plus intimement à la musique proposée par ces délicates filles à papa (pourquoi ne pas le mentionner ? La chanteuse est la fille d’un producteur de renom que je ne connais pas mais qui a été exec’ chez ‘Geffen’ et la batteuse est la fille du batteur d’Elvis Costello…) Mais pour le moment je me contenterais de cette petite galette, aussi légère que savoureuse...

En vous remerciant, bonsoir !

1 commentaire:

  1. Putassier, why not...

    Mais au vu de la photo, on peut sans doute plus parler d'esthétisation à l'extrême.

    Reste à écouter ce que ça donne.
    On va aller voir ça !

    RépondreSupprimer